Des nouveautés en voulez-vous, en voilà !
C’est l’affirmation elle-même qui n’a rien de nouveau puisqu’elle s’impose constamment à moins que votre vie ne se déroule comme du papier à musique. Utopique et terne parcours.
Personne n’est à l’abri d’imprévus, de bonnes ou de mauvaises surprises. La roue tourne malgré vous.
Le numéro 107 de L’Observatoire représente la dernière nouveauté pour vous. Il vous permet de découvrir, entre autres, le centième article écrit par Claude Mazhoud, notre fidèle « journaliste » dont l’esprit enrichit nos colonnes régulièrement depuis de nombreuses années.
Le hasard fait que les récentes manifestations et grèves correspondent au cinquantième anniversaire du fameux Mai 1968. Beaucoup de nos adhérents s’en remémorent les péripéties qu’ils aient été lycéens, étudiants ou travailleurs, participants ou spectateurs de cette époque qui les a particulièrement marqués. Les circonstances ne sont pas les mêmes mais elles leur donnent simplement l’occasion de relater leurs souvenirs.
Les innovations abondent dans tous les domaines. C’est, bien sûr, ce qui permet l’évolution. Que ce soit dans les domaines physiques, économiques, agricoles, intellectuels, culturels, médicaux, sportifs et autres… Elles se complètent, s’entrecroisent, s’inspirent mutuellement. Elles peuvent, hélas, aussi vous déplaire. À chacun de réagir selon sa personnalité, son environnement et son éducation pour savoir en tirer parti et embellir sa vie.
Les nouveaux outils deviennent de plus en plus intelligents. Faut-il en avoir peur ?
L’utilisation d’Internet dans tous les domaines, les courriers électroniques, la généralisation des réseaux sociaux ont des conséquences qui peuvent inquiéter. La rapidité de communication bouleverse notre manière de vivre, depuis plusieurs années. L’utilisation des téléphones portables et connectés ne contribue-t-elle pas à une transformation certaine des rapports humains ? Les changements sont fulgurants. Pour le meilleur ou pour le pire. De nouveaux métiers et d’autres mentalités apparaissent. Il reste à savoir si vous tenez à rester des êtres humains avec une sensibilité, du courage et la volonté de ne pas les perdre
Brigitte Ravaud-Texier